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Formule 1 : Grosjean, la meilleure chance française en Australie ?

Formule 1, Grosjean avec Haas

Qu’importe les conditions météorologiques, Romain Grosjean peut espérer réussir une belle séance de qualification, samedi 24 mars, du côté du tracé de l’ Albert Park, en Australie. Rapide sur le sec, le tricolore est également à l’aise, intrinsèquement, sur piste humide. Cela tombe bien, car de la pluie devrait s’abattre sur le circuit durant la phase qualificative…

Bonne entame de saison, pour Romain Grosjean

Avant le lancement de cette saison 2018, tous les espoirs tricolores reposaient sur les épaules d’Esteban Ocon. Mais compte-tenu des difficultés rencontrées par Force India, le public tricolore devra plutôt compter sur le “vétéran” de notre contingent, Romain Grosjean. Sans manquer de respect à Pierre Gasly, moins expérimenté et ne disposant pas, à priori (mais une surprise ne doit pas être totalement écartée…), d’une monoplace capable de viser le top 8. D’autant que, comme les essais de Barcelone l’avaient suggéré (de même que les propos de Toto Wolff et Lewis Hamilton), la monoplace américaine paraît bien née. 6ème des essais libres 2, Romain se payait même le luxe de devancer la Red Bull de Daniel Ricciardo ! Mais aussi, les Renault et autres Mclaren…

Une performance qui donne de l’espoir à Haas, dont l’objectif naturel sera de mener le groupe des poursuivants, derrière Mercedes, Ferrari et Red Bull. Une septième place sur la grille semble donc réaliste, si la météo restait au beau fixe, ce qui paraît de moins en moins probable. A condition que le Français batte son coéquipier, Kevin Magnussen, rapide également en FP2 (9ème).  Mais en théorie, Romain Grosjean devrait aussi se comporter de belle manière dans des conditions pluvieuses. C’est, tout du moins, ce que nous pouvons supposer, compte-tenu de ce qu’il a démontré par le passé, à ce niveau.

Néanmoins, une nouvelle monoplace réserve toujours des surprises, bonnes ou mauvaises. Il faudra donc vérifier si la Haas 2018 est à l’aise sous la pluie, chose que nous devrions pouvoir constater dès les essais libres 3, si les bulletins météorologiques ont visé juste. Rendez-vous, donc, à 5H00 du matin, tout à l’heure…




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