Le Mag Sport Auto

Formule 1 : Vettel concède qu’il n’était pas au mieux de sa forme

Jusqu’à ce que la belle mécanique ne s’enraye, au début de l’été 2018, Sebastian Vettel paraissait littéralement sur un nuage et très bien parti pour empocher un nouveau titre de champion du monde de Formule 1.
Et pourtant, quelques mois plus tard, l’Allemand échouait dans sa quête en accusant un lourd handicap de points sur Lewis Hamilton. A l’heure de l’introspection, le pilote Ferrari pense savoir ce qu’il lui reste à faire…

Sebastian Vettel sait ce qu’il lui reste à faire

Evidemment, Sebastian Vettel ne nous dévoilera probablement pas ses plans, quant à sa reconstruction personnelle, sur le plan sportif. Mais visiblement, l’Allemand sait ce qu’il lui reste à faire pour s’améliorer et faire en sorte que la saison 2019 soit la sienne. L’on imagine que, parmi ces choses à résoudre figure son manque de self-control, qui l’a trop souvent mené à la faute voire, peut-être, sa capacité à orienter d’avantage son écurie dans la bonne direction. Car, outre ses propres erreurs commises en piste, son écurie a surtout réalisé de mauvais choix en matière de développement, avant de finalement revenir en arrière pour retrouver de la performance. Malheureusement, pour les italiens, bien trop tardivement…

“Naturellement, avec l’année que j’ai connue, je ne pense avoir eu aucun problème à reconnaître quand j’ai commis une erreur. En sachant à quelle vitesse les choses peuvent rapidement mal tourner, comment les choses auraient pu se passer différemment cette année, il faut que je revois ces choses. Mais il y a d’autres choses qui, je pense, se sont mal passées et qui n’ont pas besoin de beaucoup de réflexion. Je pense que je sais quoi faire. Assurément, ici et là, en y repensant, je n’ai pas été au sommet de ma forme. Donc, je regarde d’abord vers moi, je pense que je peux être meilleur que ce que j’ai été parfois cette année”.

Reste que, potentiellement, un autre problème pourrait s’ajouter à l’équation, la saison prochaine à savoir, l’arrivée de Charles Leclerc, dont l’appétit ne semble avoir aucune limite. L’Allemand se servira-t-il de cette rivalité à bon escient ? Réponse d’ici quelques mois.

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *