Le Mag Sport Auto

Le Mag Sport Auto au volant d’une Ferrari 488 GTB avec les Eagle F1 !

Le Mag Sport Auto était invité par Goodyear pour couvrir la présentation de quatre nouveaux pneumatiques de la gamme « Eagle F1 » : Asymmetric 5, SuperSport, SuperSport R et SuperSport RS. Et pour tester la qualité des pneumatiques, nous avons pu rouler sur circuit en Ferrari !

Cheval cabré

Dans l’épisode précédent… Le Mag Sport Auto était sur le circuit d’Ascari pour découvrir, et tester, la nouvelle gamme Eagle F1 de Goodyear. Après notre galop d’essai au volant d’une Porsche 911 GT3 RS, l’atelier suivant était consacré au “off-road”, comprenez hors piste, avec les pneus Wrangler DuraTrac et Wrangler All-Terrain Adventure au volant de sublimes Range Rover. Nous avons ainsi pu patauger dans la boue afin de tester la tenue de route du véhicule, tout en escaladant des montées raides d’une seule traite.

Mais cela n’était qu’un amuse bouche ! Quelques minutes plus tard, nous retournons près de l’asphalte d’Ascari pour chevaucher la bête : une Ferrari 488 GTB.  Sous le capot, un moteur V8 de 3,9L pour 670 chevaux ! Au menu, trois petits tours sur la boucle nord du circuit, avec des pneus Eagle F1 SuperSport [avant : 245/35ZR20 (95Y), arrière : 305/30ZR20 (103Y)].

Pour l’occasion, l’ancien pilote de Formule 1 Pascal Fabre, ayant fait partie de l’aventure AGS dans les années 1980, était présent pour nous donner quelques conseils de pilotage. Pour nous accompagner, les pneus SuperSport du manufacturier américain. 67% de contact avec le sol pour quatre rainures de 7,7 millimètres de profondeur. Ce sont les mêmes caractéristiques que le Eagle F1 Asymmetric 5, toutefois le pneu “SS” se différencie de celui-ci par ses différentes technologies :

  • Dual Plus : Deux composés différents sur le pneumatique pour une meilleure tenue de route sur le sec comme sur le mouillé.
  • HighForce Construction : Une carcasse très rigide permettant d’améliorer la prise de virage, la tenue de route ainsi que la stabilité de la voiture.

Le soleil s’est péniblement levé entre notre virée en Porsche et celle en Ferrari. Une nouvelle fois, difficile de se faire une idée du réel potentiel des pneumatiques avec une piste froide, des gommes froides et seulement trois boucles pour mener à bien notre test. Le Mag Sport Auto relève tout de même une adhérence phénoménale. Dans les virages à vitesse élevée, ça ne bouge pas d’un poil ! Et même en tant que passager, en compagnie d’un vrai pilote de course, on a du mal à trouver les limites du grip…

Aurélien Attard

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