Le Mag Sport Auto

Actu F1 : Force India, Red Bull, les nouvelles du paddock

Au programme ce matin, des nouvelles de l’écurie Force India mais aussi, de la formation Red Bull. De leur côté, les indiens ont annoncé avoir validé leur crash-test FIA obligatoire. Pour sa part, l’équipe autrichienne s’est exprimée au sujet de son programme avec un certain optimisme…annonciateur de victoires en 2018 ?

Force India : “nan mais halo, quoi !!”

Au même titre que Mclaren Renault ou encore, Toro Rosso Honda, Force India (Mercedes) vient de passer le décisif cap du crash-test FIA. Comme l’évoquait Otmar Szafnauer pour nos confrères de Racer, la principale difficulté, cette année, venait de l’intégration du si controversé “Halo”, l’accessoire qui défigure quelque peu les monoplaces telles que nous les connaissions jusqu’ici :

La chose la plus énorme pendant l’hiver, pour nous, a été d’incorporer le Halo dans le design de la voiture parce qu’il a été introduit très tard. Ce qui, pour une équipe de notre taille, rend le redesign et le fait de ne pas tout reprendre à zéro encore plus difficile, mais entraîne [aussi] des changements énormes sur le design que nous avions déjà pour incorporer le Halo

Red Bull : en avance par rapport à 2017 ?

On change d’équipe pour passer dans le clan du taureau rouge. Double satisfaction, semble-t-il, côté Red Bull puisque, tout d’abord, Renault aurait bien identifié et résolu tous les problèmes de fiabilité connus en fin de saison dernière. En théorie, cela ne devrait donc plus se reproduire. Autre motif d’enthousiasme chez les autrichiens la bonne avancée du développement de la RB14, qui serait en avance par rapport à sa devancière. En clair, l’absence de performance du début de saison 2017 ne devrait pas se répéter, en 2018. C’est, tout du moins, ce que pense Helmut Marko :

“Après l’expérience de l’année dernière, nous avons donné des dates limites à nos ingénieurs. Il n’y a aucune inquiétude quant au fait que, cette fois, nous serons au niveau nécessaire pour les premiers essais”.

Reste à déterminer si l’ensemble châssis sera dans le coup face aux Mercedes et Ferrari. Surtout, il est bon de se demander comment évolueront les relations entre l’écurie en question et son motoriste (Renault), sachant que cette association arrivera à son terme d’ici la fin 2018. Mclaren (second client de la marque au losange) disposera-t-elle, officieusement, d’informations supplémentaires ? Affaire à suivre…

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